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Métamorphoses

Un squelette de métal qui évoque l'apesanteur autant que la légèreté... stade ultime avant la mort ou début d'un nouvel être "amélioré"

Une mue de polyesther, reste de corps désincarné, signe d'un état qui a existé, mais qui n'est plus... suggestion d'une transformation, d'une mutation... vers l'"humain 2.0"?

Un corps constitué d'un chaos filaire grouillant... sortes de vaisseaux sanguins hi-tech irriguant une entité futuriste. Étrange guerrière androgyne caparaçonnée, elle ferme les yeux sur le monde... à moins qu'elle ne se livre à une introspection?

Architecture des corps, écrins des âmes... On ne peux s'empêcher de voir en "Métamorphoses" une référence à la condition humaine et à son évolution... S.R.

Amazone

Fin 2014, Juan fait la rencontre d'Amazone, modèle d'art hors norme.

Nathalie a vaincu un cancer du sein et a subi une mastectomie. Contre toute attente, elle refuse toute reconstruction mammaire. Son "accident de parcours", elle en fait une force et une formidable chance de renaître. Elle se redécouvre en tant que modèle sous le nom "Amazone". En 2014, elle créé le projet "Amazone à croquer Divinement": une exposition collective, itinérante et évolutive qui réunit peintres, dessinateurs, photographes et sculpteurs autour du modèle vivant.

Poser devient alors pour elle un acte de foi. "Amazone à croquer Divinement"'est un plaidoyer pour la vie et la différence, une ode à toutes les beautés et un coup de projecteur sur un sujet encore trop souvent tabou.

Juan, comme tous ceux qui la côtoient, est séduit par sa personnalité. Il entame en 2016 une collaboration avec le modèle et vient étoffer l'exposition d'une pièce à échelle réelle. 

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Amazone à croquer Divinement

Sur les œuvres

L'enfance de l'art

Juan de la Cruz a toujours exploré la représentation du corps dans le cadre de son travail.

Afin de s'affranchir de toute contrainte et  pour mieux repousser les limites de ses recherches, il a choisi de poursuivre sa quête sur un plan artistique.

Une première exposition lui a été consacrée à la galerie madrilène "Mad is Mad" en novembre 2015. Une autre a eu lieu les 22, 23 et 24 janvier 2016 dans son atelier personnel, suivie fin septembre par un week-end portes ouvertes sur son espace professionnel... Gageons que cet insatiable créateur et chercheur toujours insatisfait n'en restera pas là.

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